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Page:Maupertuis - Lettre sur le progrès des sciences, 1752.djvu/66

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s’empêcher de regretter qu’il n’y ait pas plus de communication entre eux & nous. Un Collége où l’on trouveroit raſſemblés des hommes de ces nations bien inſtruits dans les ſciences de leur pays & qu’on inſtruiroit dans la langue du nôtre, ſeroit ſans doute un bel établiſſement, qui ne ſeroit pas fort difficile. Peut-être n’en faudroit-il pas exclurre les nations les plus ſauvages.