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Page:Maurel - L Orniere.djvu/57

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cliné vers elle avec ce regard insistant dans ses yeux soudain durcis, et qui parlait avec sa voix forte et son accent traînant.

— Mais je les louerai, moi, vos herbages, disait-il.

Alors, elle sentit qu’elle lui souriait avec ce cœur soulagé qu’on a dans les rêves heureux, et elle s’endormit tout à fait.