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Page:Maurice Maeterlinck - L'intelligence des fleurs, 1922.djvu/195

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ÉLOGE DE LA BOXE

Il convient, parmi nos soucis intellectuels, de s’occuper parfois des aptitudes de notre corps et spécialement des exercices qui augmentent le plus sa force, son agilité et ses qualités de bel animal sain, redoutable et prêt à faire face à toutes les exigences de la vie.

Je me souviens, à ce propos, qu’en parlant naguère de l’épée, entraîné par mon sujet, je fus assez injuste envers la seule arme spécifique que la nature nous ait donnée : le poing. Je tiens à réparer cette injustice.