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Page:Maurras - Kiel et Tanger - 1914.djvu/365

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appendice i

comme un vrai Romain, grave et austère, d’une simplicité peut-être un peu apprêtée. Derrière le masque antique, je vis reluire, pour la première fois, l’œil malin et madré du paysan franc-comtois. Le héros s’évanouissait. Depuis cette triste et décourageante entrevue, je n’ai plus eu avec Grévy — et je sais qu’il s’en est plaint quelquefois — que des rapports officiels et obligatoires.