Page:Maxine - Le tambour du régiment, 1935.djvu/80

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Ce soir-là Chatakoin avertit ses compagnons qu’il allait les quitter, voulant retourner tout de suite dans son pays.

Il se procura facilement une embarcation et le lendemain, avant l’aube, son léger canot d’écorce filait déjà sur le lac ; lorsque le soleil vint éclairer de ses feux le décor pittoresque du lac Saint-Sacrement, Petit-Cerf était déjà rendu bien loin du fort William-Henry.