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Page:Maxine - Moment de vertige, 1931.djvu/171

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XX




TOM s’adonnait à une de ses crises d’ivrognerie et depuis trois jours il demeurait absent de l’hôtel lorsque Jacques réussit à le repêcher de la rivière, le sauvant ainsi d’une noyade à peu près certaine.

Dégrisé pas sa chute dans l’eau froide, Tom eut juste le temps de se rendre compte du danger et de jeter un cri, lorsqu’il perdit connaissance.

Après que Jacques l’eut déposé sur la grève, il ne tarda pas à reprendre ses sens et, avec un peu de secours, il put marcher jusqu’à l’hôtel.

Le lendemain il reprit son ouvrage et en fut quitte, comme d’habitude, pour une bonne semonce de son patron.

Il gardait à Jacques une vive reconnaissance et