Page:Maynard - Œuvres poétiques, t. 2, éd. Garrisson, 1887.djvu/17

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Calistée, object de mes vœux,
A qui les hommes et les dieux
Rendent un amoureux hommage,
Te voyant ainsi qu’un Soleil
A nul qu’à toy-mesme pareil,
Tiendrois-je caché mon servage ?