volonté inflexible, et s’exaltait encore dans la joie de la création[1].
- ↑ Voir le dernier entretien de Maupassant avec son collaborateur Jacques Normand, au lendemain de la première de Musotte
(4 mars 1891. Figaro du 13 décembre 1903). — Nous avons fait, dans
ce chapitre, l’histoire des œuvres de Maupassant aussi complètement que les documents publiés jusqu’à ce jour nous ont permis de le faire ; mais nous n’avons parlé que des œuvres éditées de son vivant en librairie. Il sera question plus loin des œuvres posthumes. — Sans prétendre à une nomenclature complète, nous voulons mentionner ici quelques-uns des nombreux articles qu’il écrivait pour des revues ou des journaux et qui n’ont jamais été réimprimés :
L’évolution du Roman au XIXe siècle. (Revue de l’Exposition Universelle, 1889, novembre.)
Notes sur A. C. Swinburne. (Paris, 1891, in-18.)
Préface de Manon Lescaut. (Paris, 1889.)
Préface à la Guerre de Garchine.
Préface à l’Amour à Trois de Ginisty.
Préface à Celui qui vient de R. Maizeroy.
Préface à la Grande-Bleue de R. Maizeroy.
Préface aux Tireurs au pistolet du Baron de Vaux.
La Correspondance de G. Sand. (Gaulois, 13 mai 1882.)
Danger public. (Gaulois, 23 décembre 1889.)
Salon de 1886. (XIXe siècle, 30 avril 1886.)
Madeleine-Bastille. (Gaulois, 9 novembre 1880.)
L’inventeur du mot Nihilisme. (Gaulois, 21 novembre 1880.)
Chine et Japon. (Gaulois, 3 décembre 1880.)
Le pays des Korrigans. (Gaulois, 10 décembre 1880.)
Mme Pasca. (Gaulois, 19 décembre 1880.)
La Lysistrata moderne. (Gaulois, 30 décembre 1880), etc. —
Beaucoup de ces préfaces ou de ces chroniques seraient intéressantes à restituer.