C’est le diable, ça doit être le diable… à moi… à moi !…
Entre Catherine par la colline à droite, elle a une fourche à la main.
Eh ! bien, qu’est-ce que c’est ?
Là, madame, là !…
Qu’est-ce qu’il y a là ?
Pitou, sans se montrer, s’agite et fait sauter les bottes de foin.
C’est le diable, madame, c’est le diable !
Elle se sauve dans la maison à droite.
Ca s’rait-y l’diable tout d’même, nous allons ben voir. Eh ! là !… eh !…
Elle enfonce sa fourche dans le tas de foin.
Doucement, Catherine, doucement…
Il sort du foin, en manches de chemises, avec la culotte et les bottes à l’écuyère du général Bourgachard, tel enfin qu’on l’a laissé à la fin du deuxième acte.
Scène III
Comment, c’est toi !…
Eh ! oui, c’est moi !... j’ l’ai sentu ! C’est donc pas assez d’ me déchirer le coeur.
Toi ici… mais tu n’sais donc pas c’qui s’est passé, malheureux ?