Page:Meilhac et Halévy - Théâtre, II.djvu/231

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Puck sur le siège de droite. — À Fritz.) Vous, capitaine… (Boum lui fait signe de se retirer.) Vous veillerez sur notre personne.

Fritz.

N’ayez pas peur !

Il tire son sabre et se promène, à droite, de long en large. — Dépit de Boum et de Puck, qui échangent un regard.
Boum, regardant Fritz.

Mais je ne sais, alors, si je dois développer mes plans…

La Grande-Duchesse.

Ne vous inquiétez pas de cela, général… et parlez.

Boum.

Rien de plus simple… voyez-vous, altesse, l’art de la guerre peut se résumer en deux mots : couper et envelopper.

La Grande-Duchesse.

Comme la galette, alors ?…

Boum.

Absolument, altesse… donc, pour arriver à couper et à envelopper, voici ce que je fais… je partage mon armée en trois corps…

Puck.

Très bien !

Boum, indiquant des points sur la carte.

Il y en aura un qui ira à droite…

Le prince Paul.

Très bien !

Boum.

Un autre qui ira à gauche…

Puck.

Très bien !