N’aie pas peur !… (Bernadille entre dans la maison.) Il a conspiré ! j’ai un amant qui conspire !… Ah ! depuis que je sais cela, il me semble que je l’aime, mille fois davantage.
Et de la prudence, n’est-ce pas ? de la prudence !
Eh ! oui… mais cache-toi donc !
Bernadille disparaît. — Délicat et Flammèche descendent en scène.
Scène VI
C’est lui, n’est-ce pas ?
Je crois que c’est lui : cependant je ne suis pas sûr… il a bien le costume de l’homme que nous cherchons, mais comme nous n’avons pu distinguer les traits…
C’est lui, j’en suis sûr.
C’est de lui que son parle.
Elle retourne vers sa boutique.
C’est trop fort… être l’aigle de la police, savoir que ma femme a un amant, et ne pas pouvoir arriver à savoir qui est cet amant… c’est trop fort ! c’est trop fort !