Page:Meilhac et Halévy - Théâtre, VIII.djvu/254

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
MARGOT.
Nous ne sommes plus en colère,
N’s’agit plus d’crier, mais d’chanter ;
Et la voix de la boulangère
S’fait douce pour vous inviter.
On s’en donn’ra sous les tonnelles ;
Messieurs, mesdam’s, qui veut danser ?
Nous somm’s ici trois cents femelles,
Et la danse va commencer !
TOUS.
Et la danse va commencer !