Cette page a été validée par deux contributeurs.
CHAPITRE XIII.
Piété filiale.
La tendresse des enfans pour
leurs parens est la plus naturelle
de toutes les vertus, le devoir le
plus saint ; mais peut-être n’est-ce
qu’un devoir : la tendresse des
parens pour les enfans est, ce
me semble, quelque chose de
plus, c’est un sentiment.
Il est encore plus facile de s’aimer dans ses enfans que dans ceux à qui l’on doit le jour ; le premier de ces rapports naît avec une sensibilité toute développée,