Page:Meister - De la morale naturelle, 1788.djvu/12

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livre. En suivant la route où m’avaient engagé mes premières réflexions, j’ai craint souvent de redire ce qui avait été dit tant de fois ; j’ai craint bien davantage encore de redire ce que je n’avais su ni penser ni sentir.

Le seul mérite auquel j’aie osé prétendre, est d’écrire de bonne foi ; quelque rare que soit aujourd’hui ce mérite, je doute qu’on veuille me le disputer.