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puissance de l’ame, cette force inconnue qui semble unir par une flamme invisible le mouvement à la volonté, et la volonté à la pensée. »
Si le caractère doit toute sa force à la nature, ce n’est pas que les qualités que nous acquérons, ou par des efforts volontaires, ou par une sorte de contagion qui nous les communique, ne puissent le modifier jusqu’à un certain point ; c’est qu’il ne tient à aucune de ces qualités en particulier, mais se forme insensiblement du mélange de toutes, sans que l’esprit ou la volonté y ait aucune part.
Comme on lit beaucoup d’ou-