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ſurie ; mais tous ſes cris ſurent vains.
Cependant Alonzo commença à ſonger aux moyens de calmer le désespoir de Florella, & à prévenir les conſéquences d’un enlevement pour lequel on alloit ſans doute le pourſuivre, quand un de ſes gens vint lui dire que quelqu’un le demandoit. Il ſortit de ſon appartement, & chargea une perſonne sûre de prendre ſoin de Florella, de ne pas ſouffrir qu’elle parlât à perſonne, & ſurtout d’obſerver qu’elle ne ſe livrât pas à aucunes des extrémités où le déſeſpoir dans lequel il la laiſſoit, pouvoit peut-être la porter.
Quand l’auteur de tous ſes maux fut hors de ſa vûe, elle s’abandonna