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Page:Melange de differentes pieces de vers et de prose 3.djvu/148

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Fopington.

Je voudrois qu’elle fût mariée ; car je déteſte le rolle de tuteur, ſur tout avec des aſſociés auſſi biſarres. Je ſuis réſolu de n’être jamais d’accord avec eux, & je m’imagine qu’ils ſont de même à mon égard.

Le Colonel.

Je voudrois par curioſité avoir votre conſentement pour les éprouver.

Fopington.

Oh ! de tout mon cœur ; je n’ai rien à refuſer à un homme de votre mérite.

Le Colonel.

Je vous ſuis extrèmement obligé.

Fopington.

Mais, de bonne foi, eſt-ce que vous aimeriez le mariage ?

Le Colonel.

J’ai toûjours eu de l’averſion pour ce lien-là ; mais je crois que je pour-