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Page:Melange de differentes pieces de vers et de prose 3.djvu/166

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& la déchire.) Je la déchirerai en pieces. Je ne veux entendre parler de perſonne ni d’aucune propoſition.

T. Prim.

Fort bien, mon enfant.

Le Colonel.

Cela eſt excellent.

T. Prim.

Ami, ta parure annonce trop la vanité du ſiecle, pour obtenir mon approbation. Je n’aimerai jamais ce qui reſſemble à Fopington… Remarque cela… C’eſt pourquoi, ami, ne m’amene plus de ces jolis ſinges de ton goût ; ils ne ſeront jamais du mien.

Fopington.

Comme je ne connois pas d’ours de ton eſpece, ſûrement je n’en amenerai jamais chez toi.

Le Colonel. (à part.)

J’ai fait-là une belle ambaſſade… Mais c’est une belle place qui méri-