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Page:Melange de differentes pieces de vers et de prose 3.djvu/185

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& ces cendres, je vous avoue que je n’avois jamais vû cela dans nos plus ſavantes diſſertations.

Le Colonel. (à part.)

Je ne crois pas même qu’on l’y voie jamais.

Trancar. (à part.)

Parbleu ! vous lui en dites de belles, cela ne vous coûte rien.

Fenton.

Vous autres voyageurs, vous voyez des choſes extraordinaires ; n’en auriez-vous point de ces cendres ou de ce charbon ?

Le Colonel.

J’en ai quelque peu parmi mes curioſités.

Fenton.

Hélas ! j’ai bien perdu de n’avoir pas voyagé : n’avez-vous point encore autre choſe ?

Le Colonel.

Oh ! pardonnez-moi, j’en ai plu-