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Page:Melange de differentes pieces de vers et de prose 3.djvu/290

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Adieu… (à part.) Cela eſt merveilleux.

T. Prim.

Entens-tu cela, impoſteur ?

S. Scruple.

Oui ; mais c’eſt ſans m’en émouvoir : voilà l’impoſteur.

Le Colonel.

Voilà un effronté coquin… Mais à préſent, que je te conſidere, je me remets ta figure ; tu es venu avec moi dans ce coche ; tu avois une perruque noire & ronde, un habit brun de camelot avec des boutons de cuivre… Peux-tu nier cela ?

S. Scruple.

Oui, ami, je le nie, ſur ma conſcience.

T. Prim.

Vraiment, ami, tu es un des plus impudens coquins que j’aie jamais vû.

Delby.

(à part.) Il faut que je l’entre-