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Page:Mendès - Petits Poèmes russes, 1893.djvu/75

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LES SEULES LARMES




Lorsqu’aux champs de combat, pour les rois sans remords
Gisent, sanglants, les corps qu’étreint la mort jalouse,
Je ne plains pas l’ami, je ne plains pas l’épouse,

Je ne plains pas même les morts.