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Mais pour qu’en tout pays, la terre maternelle,
A l’homme heureux enfin de reposer en elle
Sa tête qui se courbe et son cœur qui se fend,
Pût dire : « Couche-toi dans mon sein, mon enfant !
Mais pour qu’en tout pays, la terre maternelle,
A l’homme heureux enfin de reposer en elle
Sa tête qui se courbe et son cœur qui se fend,
Pût dire : « Couche-toi dans mon sein, mon enfant !