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Page:Mendès - Richard Wagner, 1886.djvu/18

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poète-musicien fut le misérable insulteur de nos défaites et de nos gloires. Pour moi, je ne sais plus qu’il m’a fallu, hélas ! le mépriser et le haïr. Je le revois tel que je l’ai connu jadis, avant les années terribles, au jour des enthousiasmes sans restriction ; je me reprends à l’aimer comme je l’aimais alors, et je salue en pleurant son glorieux front mort. »