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Page:Mercœur - Œuvres complètes, I, 1843.djvu/298

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Si tu peux résonner sous l’aile du génie,
Souriant au trépas, sans éprouver d’effroi,
Je dirai, quand sa main viendra peser sur moi :
« La mort versant l’oubli dès peines qu’elle achève,
« Est le dernier repos !… C’est un sommeil sans rêve. »


(Janvier 1827.)