Page:Mercœur - Œuvres complètes, I, 1843.djvu/503

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          Une victoire aux plus doux charmes,
Et fiers de se courber sous votre joug flatteur ;
          De ceux qui vous rendent les armes,
          Heureux d’avoir un tel vainqueur,
          Sans nul doute chacun désire
          Qu’à jamais vous gardiez l’empire
          Que vous avez pris sur son cœur.


(1833.)