Page:Mercœur - Œuvres complètes, II, 1843.djvu/112

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


V.


Adhémar de Birague avait revu plusieurs fois la comtesse de Villequier. Cette vue, si chère et si dangereuse, l’avait fait malheureux au dernier point. Oh ! qu’il eût voulu voir se déployer le drapeau de guerre ! qu’il eût entendu avec joie les sons d’une marche belliqueuse, si elle eût dû être à la fois pour lui une hymne de victoire et de mort ! Hélas ! l’étendard sommeillait roulé ; le