Page:Mercœur - Œuvres complètes, II, 1843.djvu/205

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NOTICE
SUR MARCELINE.


Élisa eut toujours une grande vénération pour le sublime dévouement des sœurs de charité ; aussi lorsqu’elle parlait de ces vierges hospitalières, elle disait que c’étaient des anges que Dieu faisait asseoir au chevet du moribond. Elle s’était persuadée que les vœux de ces saintes filles devaient être perpétuels ; elle n’apprit le contraire que lorsque mademoiselle Joséphine d’Abrantès reparut dans le monde.