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Page:Mercier - Néologie, 1801, tome II.djvu/175

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PAR

encore l’idolâtrie homérique, pindarique, etc. : de grands enfans, de vieux écoliers à tête étroite et opiniâtre, s’engouent de ces auteurs, n’en sortent point, et nous donnent leur engouement, réel ou factice, pour du goût et du sentiment.

Papistique. Idolâtrie Papistique. Pleinement absurde, elle résiste à tous les coups. L’homme cependant n’est pas né pour l’erreur, ainsi que le prétendait Voltaire ; mais pourquoi écrivait-il, s’il était persuadé de cette maxime ?

Parader. Il connaissait l’art de Parader, et de donner à la représentation cet extérieur imposant qui étonne la multitude. (Picqué des Hautes-Pyrénées.)

Paragon ou Parangon. Chose parfaite en son espèce.

Où est le livre Parangon ?

Parant. Les Parisiennes, avec peu, sont mises délicieusement, et de la manière la plus Parante. (Rétif.)

Parâtre. On a dit marâtre ; pourquoi ne pas dire Parâtre ?

Par-delà. On lit ce vers dans Cinna :

Et prends vos intérêts Par-delà mes sermens.

Par-delà mes sermens ; expression dont je ne