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NOTE.
1. Cet impromptu fut fait à ma requête par un vieux morlaque pour une dame anglaise qui se trouvait à Trau en 1816.
Je trouve dans le voyage à Boukhara de M. le colonel baron de Meyendorff une chanson faite par une jeune fille Kirghise, qui offre une grande analogie avec celle-ci. Je demande la permission de l’insérer ici.
Chanson Kirghise.
Vois-tu cette neige ? eh bien ! mon corps est plus blanc. Vois-tu sur cette neige couler le sang de ce mouton égorgé ? eh bien ! mes joues sont plus vermeilles. Passe par cette montagne, tu y verras un tronc d’arbre brûlé, eh bien ! mes cheveux sont plus noirs.
Chez le sultan il y a des mollahs qui écrivent beaucoup, eh bien ! mes sourcils sont plus noirs que leur encre.