Page:Merrill - Les Fastes, 1891.djvu/31

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Le vent dans les roseaux résonne en morne glas :
Iras-tu dire aux eaux moroses, si tu l’oses,
Quel désir de mourir émeut ton cœur si las ?


Mais le sais-tu toi-même, amante d’au-delàs
Dont l’âme a réveillé l’âme des vieilles roses
À l’heure où la rosée arrose les lilas,

Quel désir de mourir émeut ton cœur si las ?