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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/18

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Cher village aux toits rouges qui fument,
Ce soir, dans la douceur de la brume,
Nous revenons à l’appel du clocher
Qui éparpille ses oiseaux légers
Dans le val au bord de cette rivière
Où jadis, à genoux, nous bûmes
L’oubli de la vieille amertume.


Pélerins de la ville étrangère,
Nous demandons l’aumône de la paix