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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/197

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Mer qui ne veux obéir qu’aux vents et à la lune,
Et qui rugis d’espoir quand les veilleurs des phares voient,
Sous les éclairs, la face pâle des matelots parmi les hunes,

Ô Mer qui berças l’enfance de mes ancêtres,
Je ne puis te donner, n’étant pas, comme eux, ton maître,
Que ce coquillage creux où tonne, lointaine, ta voix !