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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/29

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Mais ni la chevauchée ensoleillée sous les bannières,
Ni le doux tonnerre des tambours dans le printemps,
Ni le cri des clairons dressés en corolles d’or,

Ne valent ce silence où notre fatigue s’endort,
Et la caresse des ombres qu’entremêlent les vents
Et la minute éternelle de notre baiser, cette prière !