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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/62

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Mon âme est pleine d’archanges,
Mon âme est pleine d’essors !
J’entends travailler les Sorts
Pour l’espoir secret des granges.

Mon âme est pleine de joie,
Mon âme est pleine de dieux !
Amour, bande-moi les yeux
Pour me guider dans ta voie !