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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/97

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Des étoiles vont bientôt tomber du haut des cieux,
Et tu croiras les cueillir avec les marguerites,
Ô toi qui portes le souvenir des anges dans tes yeux !

Et nous irons par la sente où des pas furtifs ont fui
— Biche qui a peur du vent, ou faune que l’homme irrite —
Écouter le silence et regarder l’ombre de la Nuit.