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Page:Merrill - Poèmes, 1887-1897, 1897.djvu/216

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C’est pourquoi nous venons, nous, enfants des mêmes astres,
Offrir à ta vieillesse immortelle nos palmes,
Pour mieux venger par toi, sur le seuil des temples calmes,
La Déesse haïe en ce temps de désastres !