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Page:Merrill - Poèmes, 1887-1897, 1897.djvu/235

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Or voici que, surgis de l’éclipse,
Les archanges, marchant sur les astres,
Fanfarent, au fracas des désastres,
L’heure rouge de l’Apocalypse.

Et tandis qu’au rouet des pâles Nornes
Le fil d’or et de cuivre se casse,
La voix de la Sibylle trépasse
Au galop des célestes Licornes.