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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/101

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XII

Soupirs du vent parmi les fleurs,
Sanglots d’amour au fond des chambres,
Musique éternelle des pleurs
Des avrils comme des décembres,

Tout ce qui, des foyers aux nids
Et de nos maisons jusqu’aux astres,
Chante le deuil des jours finis
Et la peur des futurs désastres,