Aller au contenu

Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/81

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

II

Tenir ta chère tête en mes mains
Et la baiser comme une fleur
Longtemps cherchée au bord des chemins,
Oh ! que cela soit mon bonheur !

Bâtir pour toi la belle maison
Où ta voix chantera sans peur
De la claire à la sombre saison,
Oui, cela sera mon bonheur !