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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/85

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IV

Ô chansons, ô brises des nuits,
Parfums des lis et de mes rêves,
Sanglots des flots au long des grèves.
Amour blessé qui me poursuis,

Frissons, lueurs, soupirs, nuances,
Quels mots plus légers que l’esprit,
De ceux qu’on pleure ou l’on sourit
Pourraient dire vos influences ?