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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/91

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VII

Le vent souffle sur la falaise,
Les fleurs tombent dans le verger.
Pourquoi donc en moi ce malaise
Et ce désir de m’affliger ?

C’est sans raison que je soupire.
La terre est comme un lit d’amour,
Toute la mer est un sourire.
Qu’es-tu plus triste que ce jour ?