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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/99

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XI

Un éventail près d’un gant,
Et ce parfum de verveine !
C’est tout d’un amour si grand.
Que mon cœur, que mon cœur a de peine !

Vous m’appeliez votre roi
Quand je te disais : ma reine !
Je n’ai plus force ni foi.
Que mon cœur, que mon cœur a de peine !