Pour qu’il prenne, à m’entendre, une aimable leçon.
À moins qu’il soit si doux, si généreux, si tendre.
Et qu’il tombe à tes pieds avant de te comprendre.
À quoi penses-tu donc ? Ton front se rembrunit,
Tout notre enchantement est-il sitôt fini ?
Je pense que j’ai tort d’aimer… je me raisonne.
Je dis que mon bonheur ne doit nuire à personne.
Comment ?
À mon sort est lié, je dois m’en souvenir.
Bienheureuse déjà qu’une vieille parente
S’accommode avec nous, d’une modeste rente.
Sa fortune très mince, aux deux nôtres se joint,
Et ce petit pécule arrive fort à point.
Nous vivons tous les trois. Paul travaille, il est libre.
Si nous nous séparons, adieu tout l’équilibre
De ce faible budget. Les termes du loyer
Sont un trop lourd fardeau qu’ils ne sauraient payer
Tous deux, sans mon secours.
protèges ?
Toi seule leEt puis, c’est le tailleur, les modèles, que sais-je ?
Mille petits détails qu’exige une maison.
Je vis à Saint-Denis. Simple combinaison.