Page:Michaud - Biographie universelle ancienne et moderne - 1811 - Tome 9.djvu/12

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II ATÏS DES ÉDTTEUîrS/

nous envoyer toutes les remaïques auxquelles peut donner lieu la lecture des pk-^rtiérs voliimfcs de la Biographie univerIelle, Il n’est pas un lecteur qui ne Foit a méiue de nous fouinir des document» utiles sur la vie de quf Iqne homme ccIcLrc , qu’il a été à portée de comiaîtr^, et sur lequel il peùténconiséquen’ce, mieux que personne^’ nous dônnef an ’ moiris des dates exactes et dés renseignements ignorés du public. Ce n’eèt , comme nous l’àVons dît souvent, qiiè par un très grand ’ contours de lumières que nous nous sommes flattés d’arriver au plus haut point dé perfection possible. Lorsque tous les voîuujes auront passé successivement sous les yeux de toute TEurope savante ,’il’est probable qu’aiitijuè des erreurs qui àutont pu nous échapper d&ns le texte ne ndus restera inconnue, et qu’ainsi toutes sei’ont rectifiées dans le Supplément. Le lecteur étaril averti ’ de recourir h ce Supplément, toutes les fois qu’il se présentera a son esprit quelques doutes sur les assertions et les faits établis dans le texte, il y trouvera nééessiairemerit ou la soliition de ses douteis , oi4 ’* ]a preuve de reSEfctitiide* du texte , par le sileiice qiiî y sera gardé tela- ’ tivement à l’objet de ses rechercTiès. Par ce moyen , il arrivera aussi que le’ petit nombre d’articles qui pfut d’abord échapper aux re- ’ cherches , nous sera indiqué avant l’impression du Supplément^ et ’ qu’ainsi ils y trouveront place. On peut, d’après cela, juger de quelle importance doit être ce Supplément et Eirata, et Combien il contribuera à l’utilité de l’ouvrage qui, nous osons le dire , est jusqu’à présent sans modèife et ne ’ sera’ vriaisémblablem’énl pas surpassé dans notre siècle.

Fidèles a nos engagements de toute espèce, malgré rau^ràentatîoii^* des frais qu’exigent tous ces travaux supplémentaires , malgré le renchérissement de tous les objets de fabrication , quelle que soit la beauté du papier que "nous employons, les soins de l’impression, • quelle que soit enfin la grosseur des volumes devenue indispcnî^ablié^*^ par l’abondance des matières, ïirtus continuerons à les donnerait^ mènife )prix aux premiers act|UériElirs ,’ et nous les invitons a se faite ^ inscrire exactemenr en retirant la cinquième livraison ; mais nous deVons prévenir que, lorsque’ la sixième livraison aura paru, le prix ’ dé chaque volume sur pa"pier cariée fin sera irrévocablement porté * à 8 fr. 11 TJ y aura point d’augmentation pour le papier grand-raisin ni pour le pa|)icr veliîi.

jNous rachèterons tous les cxèniplair^s deé prt’lniers volumes que l’on voudrait nous rendre, et nous consenions, dès aujourd’hui, à reprendre foutes les souscriptions dont en voudrait se défaire.