Page:Michaud - Biographie universelle ancienne et moderne - 1843 - Tome 22.djvu/445

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OO LAB $¤IddI !6I|”’ai =•a¤y•O Idyda, aïe I•dH*•e-a’=t : itl.·,48M, tn- !} réimpriaaé demi NWN hedte atlti& ; 7¤’P•nfu. du wgni Parmi ït vatüüfnkllaîtkrtexe. Ibid., HUB, l’n·6î ; $ldb ;’16$’l, ’ édltibtï agitée ; 8° Porhgnltia, llil6 :, *l§4l’, · td·¢5l ; lbid.,16ü. Tous ces ouvrages pas partie dette collection connue sous le nom desPditem-é ;à•b6q•es. et imprimée par les Elsevtrs·(1), et lia n’en forment pas la partie la moins importanteybaet cltoisisaait bien ses matériaux et les employait avec discernement. Le volume de la Perse est préfére aux autres à cause de plusieurs extraits de voyages traduits des langues Urlgdttiles. 9°* Nora : ordi :. tet Dexeriplionir lndiœ uerrdehtariv libre xviu, cam lahaili : et jîgrri : anais, Leyde, 1653, in-fol. ; trad. en français sous ce titre : Ulitloire du nouveau inonde. ou Ileaeripliovt Je : Indes occidentale :. contenant dix-huit livres, Leyde, M60, in-fol. ; cartes et fig. ; trad. en llatnan¢l,1614, in-fol. Laet voulut donner une bonne description du nouveau monde ; il a parfaitement réussi : il était difficile de mieux faire à l’ëpoque -où ll écrivait. Son livre offre un resumé judicieux de tout ce qui avait été écrit sur l’Ain¢’rique par les auteurs les plus avérés. Il est, dit avec raison le P. Charlevoix, rempli « d’excellentes recherches, tant par rapport aux établissements des Européens dans l’Amërique, que pour l’histoire naturelle, le caractère et les mœurs des Américalns. • ll peut encore être consulté avec fruit. On trouve à la lln de la préface la notice des auteurs que Laet a mis à contribution. lO·* Nolœ ad Dîxtdùliotten HIQOIÉI Grolü de origine genlîum Raaeriemnvrtln, el obsercaüonea aligaiot ad me/iorem hdngînen dffeilüuœ illiau queafiormia, Paris, lt} lïi, ln•8°. Grttlua, dont l’ouvrage avait paru à Paris l’IttI(e prétëüettte, prétendait que les peuples ile l’Atüt*lque n’ëtaient pas fort anciens, et qu’ils y avaient passé de l’Europe. Laet, en réfutant cette oplnl0Ii§ éühlit que l’Amérique avait depuis longtemps reçu ses habitants des autres parties du monde. Grotius ayant réplique la même année avec beaucoup de hauteur, Laet répondit avec plusde politesse et de douceur dans l’écrit suivant : H’Rcrpoiuio ad Dinatalionem aectmdmn Hugoni : Grutliî de ufigike getvtimn Avnericmtarusa, Amsterdam,161t, ln-8°*. Cette discussion donna lieu a l’écrit deG. Ilprn et d’autres sur le même sujet. l’2·*l)a jéûlii È latfdüax libri duo : prœnitlilur Tîeûfdhttll Ye ? de ltpidiûit, grœre el latine. cum brèami ia@»»ia¤, Leydmon, m-s·, ng. ; lllitllnîltç l’filstnire naturelle du Brésil par ljepola Pülijet aregravje, avec de savantes notes Je l’§Gjll1% ;, ’ibld., ’tM8, in-fol. ; 14°* une autre de W turcllc de Pline, Leyde, Elzévir, 1658, lllîfni trilalie dim collection une espèce de atntiattque du di—1«·@a du.|a¤d•, et noautmna de t’B•r¤p•. ki ¤’¤¤P•f¤•¤¤ dl ce qu’ila einen ! sion avec leu état actuel n’est ta Ans intérêt. On peut voir dans les de hltfr. de guuqgt a, p. ¢·t9L, taeuatque raanane ¢aa¤v·•l¤•• Qïlollwt tint.: ç¤llection·çt, d¢’eçux qu’oq y ajojit em$pel-Q Ol !. - a.J.....·..«·· ;. aaaugua. L»» ;...’.’F.»u, »a. ;.’H«.¤u-u.:¤a ; u·.¢ut»l.aa.ü·uAau-aLu·&a-a


KEY 8 v•l~.¢~tlMIt ·lll•¤ultb•$¤ltl•l’·de •llA’chl|ecfure’dé Vttru•e, ¤veed’aou•s uavmimsiaises des nv, et ’ des notes doll. Ielbntnill •t¢l.lBàttmalh·, ibldli ttiltt, ln-tol ; ; ¤=lle¤’est : pas aisüeotn lite ne le titre semble l’indiquor (my :<Pole§lll£od•a’ ; ad : &’itraa6ma«• punie, ·p. 109°|M)ê IB} Cddujvlddàm liialorùr auaivrraelù ddl : et eneduiaaüandmyleu ad annu 1610, Amsterdam, 165, ’lù~·8¤.’ ’ilôëd. L.·t·21’US (Qourrrs-.·Ei.ius): pl’éîat ·d¤ 4»·a¤m··, détourna Commode de l’odieux projet qu1| mit forme de brûler la ville de Home pour’pràurer qu’elle lui appartenait. ltévolté des excès ile œl indigne prince, il gagna tlartia, l’¤ne desesmatï tresses, et, de concert avec elle, résolut, quote qu’un peu tard (ce sont les termes de t.amprùle)· d’en débarrasser le monde. Le poison q¤’il lui avait donné n’agissant pas assez promptement, il le fit étrangler par un athlète avec lequel ce prince s’exerçait souvent à la lutte. Dès qu’il’Itvit expiré, Lmtus alla trouver Pertinax, et le força de se présenter aux lëgions, qui le proclamerenî empereur (voy. Prnuwix). Le nouveau César se montra reconnaissant envers |, a-tns et le coutlrma dans toutes ses dignités ; mais Panibîtion de ce courtisan n’était pas satisfaite : quelques reproches que lui avait attirés son imprudence achevèrent de l’aigrir, et il n’h•’sita pas à entrer dans une conjuration qui se formait contre Pertinast. Les eonjurës s’étant portés en armes au palais, Pertinax leur deputa Lieurs pour les apaiser. Mais au lieu d’obéir à son maître, le préfet sortit par une issue secrète et se retira dans sa maison, où il se tint renfermé en attendant l’événement. Après la mort de Pertinax, Did. Julien fut (lu empereur par une partic des troupes ; et ce prince, craignant que Lretus ne fût dans les intérêts de Sévère, son compétiteur, donna l’ordre de le tuer, l’a¤ 193 de l.·C. W-6. l...ETl’S. Voyez Pourosrts. · L.lïVlNl’S ;P. ’»1, r : mrs), nommé consul Paul’} ! (280 av. J. C.), fut chargé de soutenir la guerre contre Pyrrhus et les Tarentins. Il pénétra amsitvût dans la Lueanie, et marcha au-devant defyrrlmi, dans l’intention de lui livrer bataille avant quë ec|ui-ci eut été joint par ses alliés, Pyrtltus, efë frayé de la rapidité de sa uiarrhe, lui (lt proposer d’être le médiateur de la querelle qui divlmit ki deux peuples ; mais Laevinus répondit i son enë voyé que les Romains ne prenaient point Pyrrhd pour arbitre, et qu’ils ne le cratgnaimt pl ! PDIF ; ennemi. Il traversa ensuttela rivière dt Slri•, ’•¤· dessous du camp de Pyrrhua, et en t le cul ; bat. La victoire, longtemps pencher pour les Bomtünig lbvsqtlc’PjIfllI ill avancer ses éléphants. La rue de ces enormes aimanxqincohnus jntqu’ifors GI Balle, fI·I|t|îe•¢Yë· pouvante les Romains, ets surtout leufcavaleflc qui s’enfuit en désordre. [trinite abeœpl aussitôt des moyens-de tet¤ger filhnt venait de irecerolr ; il südveaai lu sënat pnruoirde nousvellet troupes, qt ! hl MMI ! onnlre I, —f ’·· ; ;M, .’ y Ju n : à.,1 MMM