Page:Michaud - Biographie universelle ancienne et moderne - 1843 - Tome 29.djvu/51

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È. " ll Il raira cette galanteria et l'on ne parla que de cette Guirlande. Néanmoins les peintures étaient médiocres, et les vers encore davantage. On n’a retenu avec plalair que ceux qui avaient été écrits au bas de la violette pae Desmarets de St-Sortim —a««»m·¤«Ã·¤q¤·i sa morteegage d’amour. Son époux était auteur da saine des madrigau : $l|ormentlaooI•etion, etoene’•ontpas lea leurs. Quand Julie mourut, en IGH, sa Gsirlaads resta entre les mains du duc de lontausier ; etil aimalta râsontrura£’amlslemonument’avait avant son ”¢î’ !iâ·l°·2’.·..s·.....’° "“’TIer.i’."’.·....·"’ "°’l’·’%£° ""“ ap C, et ensuite aux ldiîritiers de cette Jmv). Une’ce précieux man t mee par m jeune en 1186 in-8°, pap.’v|â¥" ?tiree mutt quat1·e· ; vingt-dixi" !s|¤ ; ais âgtiëolns a deux cen ellquan ex, a mpriméeen t8l% ; ; rnc llgznresmlees, I vol. in-18. L-K:. I AUT bouse Inno : na, oouvennel, naquit ven PII ; au clilteaza de llontant d’une famille nolileet qui ce montratoutentière opposées la révolution. D’abord-mousquet al1·e du hror, il avait quitteàeservieelorsqu’: cetterévotion commença. en embrassa canne avec ardeur, et fut nommé en 1191 administrateur du district deùsndometlleutenant-ooloneldela garde natiomledu tduGers, qui l’é|ut cernes a l tlve. lontaut défendit e 18 avril HQ ! à l’assemblée législative lesm’: sacresI¢LAvignon dedgti, et lïoiidonner ensu° que anciens ux’armée française seraient brûlés à la tepzdee corpà militaire ; le 3 : juillet il àttsgnlà violemment les roya istee. pesatun nmiers jours d’août laeoeiete des Jaoobiua.l :0, onyavait misendéliberation •’il neaerait pas nécessaire de voueral’exéu-ationtpv’:|blique tous les membres de l’assembla”ee leglsla e qui avaient refusé de mettre le général Lafayette en état d’aocuaation. Le lendemain, llontant, aecnse par le député Jolivet d’avoir laine avilir le ooqîs legislatg, bma cettedeuondahom et pendant’a uteau il lit decrè€er’un appel r jurer îunorndeladziation de la liberté et égallté, ou phaeun son poste. Lors des rnaaaacresdeseptembre, le députélouneau ayantétdextrzit des prisons de l’Abbayeetramené à Passemhlee, loutant fut accuse d’avoir d¤nndequ’ilyfttreconduit ; eequine fut pas deaete. leelu à la Convention, lontant vom rour|amort dans leprueesdel»eulaXVl, eentre mel an et contre le sursis. Il fat enl’de-Iarat dans ses dénonciations contrenuczàariveâi msmskszmtzaeewu ; dt a ne lantpunllee, qui servait dans l’arm du serait conduit à-Paris et V ; contribua’prescription des Girondim, et foüritadéposereonheeuxesnnns

EN ternolo, ·aprts arotrételeur uge. En un mot, il prit part i tous les actes révrllutionnalrea dont le règne de la e le tableau. Itutln, il lit décréter r assemblée milarat oh tiendrait Papoüsmae, et qu’il auralt i cette Jaçpsdaa étrange le pas sur L- !. Rousseau : coque Ronsseana écrit, s’ecrla-t-il, Marat l’a fait. » D’aprts ce raisonnement, Marat l’emporta sur Rousseau. Le N novembre t’l9S, Montant fltstatuerquolesbiensdesaccusésïi seeeraient donné la mort seraient confisqués. proposa ensuite lïpuurion des Jacobins, etrefrocha à Roureroylelongsllenoe’il gardat, ctsonpeu d’empressement a aœiïr aux séances de la société. Après le 9 tberrnidor, Montant persista dans ses opinions dérnagogiques, prit part aux insurrections de grmlnal et de prairial(l* et 18 avril U95) et t décrété d’accusation. On lui reprocha dans cette circonstance d’avoir dénoncé sa mère et ses sœurs : ce qu’il nia, quqigue la dénonciation relative à sa sœur fut prou par onze pièces. On l’accusa enfin d’avoir, le il janvier HM, sous prétexte de célébrer cette journée sur la place même où Louis XVI avait reçu la mort, entraîné la convention sous l’échafaud au moment d’une exécution, de manière le sang des victimes rejaillit sur plusieurs dgplrîtés. On lui reproche encore d’avoir prornzrré le supplice des fermiers généraux. Montant tamnlstié en 1796, et ne reparut pas depuis sur la scène politique. Obllgé de quitter la France en 1816 comme régicide, il se réfngia en Suisse, où il resta jus-311’après la révolution de 1830, qui lui permit e rentrer dans ses foyers. Il mourut dans le château de Montant (commune de Mont-ltéal, dé parte ment du Gers), au commencement de juilet l8I !. B—u et M—nj.

MONTAZET (Amours Marvin na), archevêque de Lyon, était né au diocèse d’Agen en Ut !. S’étant destiné à l’état ecclésiastique, il suivit a Paris le cours ordinaire des études, et s’attacha À M. de Fit :-James, évêque de Soissons et premier aumônier du roi, qui le fit chanoine et grand vicaire et lui procura une place d’aumônier de quartier dans la chapelle royale. Ce dernier titre conduisait presque toujours à l’épiscopat. II. de Montazet fut nommé à Yéveehé d’Autun en l’It8. Il parut avec honneur dans plusieurs assemblées du clerge : ce fut fut qui prononça le discours d’ouvertures celle de 17t$0. et ll s’y éleva contre Pincrédulité naissante dont il signale les causes. Dans cette même assemblée et dans celle¢let1l !5, il serénnitasescollègue-s et réclama soit les immunités du clergé, soit coatrelesenmises du parlement. C’était Istempsdelapllrs grande ehalenrdescontestastone entre lesévàquesetlamaglatratnrezet la cour, faible et incertaine dans sa marche, favofhalttour à tout l’un et l’a¤tre.-Une dispute pour fclectlon d’une suptrulrz dans rm couvent de relijsnses établi à Paris, ras Monf