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lt-< «· ; q»ital«·s étaient Cordoue, Tolède, lltvrlda, Sarapusae
et Narbonne ; renullln les mules unitaires,
releva les ponts et deslitua Iew’iun•·tionnaires
roupat»le> «t’najn-tn·«· et ne vruaule. Mais il
t l’lû l’il" que Yuuaoul llll-|ht"|Ilt ? Ile fut |lil~ a·’Ihgll
de uwrrlnnulè. car on disait de lui que · sa rnupe
était de tnjvl pour ses parents et ses anus, el
4 ·l’2°b»i¤*le pour les autres ¤. Le ellef des mewntœdlts
last Amer heu An¤ruu, hmImn~)’»t1i :¢·
eant par >a uai>s : m•·¢·. ses ri«·lu :>ses vl son ertlllit,
qui ne se emyaill pas «l«·donnna :¢’· par le gouvernement
th- Séville lle la charge l’arbiral que
’·»u>«mt’avant auppriinee cuulme inutile depui§’
que les ····¤nmnmn-ulimis avec la Syrie et l’Afr•qur
¢’t.•i¤·nt l|Ilt’TI’ttIII|)l|t". ÀUITUU czllvala en pfodiguaç
l’ar ; enl pour se faire ales pnrtiwam. Yuusouf sel
mntenta d’ahoral d’eplt»r ws |lt’ilI !lI’Ch|*’$ ; mans,
ilfillll Stlfpriâ tlüs ll.·lll’c’4 par lt.’*lllll’llt’S l’t’fin’lieux
ls’ ¢l«•n-mgzxlt un «··x|«(•~ volume u-urpat«·ur’
vt tyran, ll voulut s’a~<urer Je ~: l persguttv.
Ann··«u. eclianpe au ;·il~2e. >’em ; mra de Sarag«—>··,
en tilt} 753 733, et de tout le nurll de
lE—pagm·. La ·: n-ir«- mvxie enntnnm entw lea
wlvux rivaux ; lllilli-’J xwtoire que â·»u<«>uf remporta,
pri·~ ne (Jamil- tyouh, >ur <u-i ennemi, Ie ;
r·~n«lit m·•ître’«le +n•«:«»<<«· J5 n-l»·ll·· et il» mur
lib, ai lai fin gle l’£.t|lIlt’¤’ ~nis.mte’juln 755. Iluusl
<’··l intervalle, une zranlle r«·~ulr-ti«»n avant eu
lieu en tlrienl. Le vaille Mvrwnn ll. qui maitl
l’l•lll-lYnNv"|lU<|)Uf (|(llI ·C gU’I’rI’II’Hlx’lIl llü l'Espagne, et um f=ê~re, h-l-el ltninnatn dans Cvllli de l'Afrique, avait perdu le trône et la vie 1-oy., ll+.n-L
n sx ll. et la dynastie des .tlll»as>i«les avait rem- ;
plare celle des Ommeyades. que les vainqueurs ;
mtxlent exterunnee. Le prince thi} el-ltalnntlu.t
wliappé au massacre de sa famille. avait trouvé··
un asile ? ell Afrique, malgré les recherches du
gouverm-ur. père ¤l¢· lonsuul’. Tandis que ce
tlermer était 0<·«·np«~ dans le wml de l’l»l-pa$zue.,
quatre-vingts <·apntam··+ arabe : so rassernblerent
secrètement à Corllnue. pour délibérer sur les
moyens de mettre En : sur troubles, aux guerres
eivsles qui ne cessaient de fléchirez la Péninsule
mus Yuetmlnistralxou prévaire et tyrannique des
lieutenants ailuoviblws des cnliies, et d’y établir
un g·>uvernenn-nl stable et hwètlxtuire. Deux
d’entre eux éc rvnzlirent ài Thahert, en Afrique,
pour inviter Àllll-l’l-llüll|llülI il xçnxr régner en
Espagne. Le prince répondu ! à leurs v«r·•l.
aborda. le 10 ralwi l" lZl8 ïëil août 755, a rtlmuriecab,
et fut l’9CUl|llU souverain par toutes
les villes de l’E—pagne Illt ; fltll0D§IlC, Y, «m=oüf.
dans la fureur que lui causa I.: nouvelle de rette
révolution ; lit trancher la tell ; a’sw deux prisonme1·s.$··cun«lé
par ses lits, ni rœlstl au nouveau
roi, ·q¤’il alïeelait de nommer }ll-Daglml fl¥uuonnu,
Vintrus ; n»ai— force de >t· nuumetl o-.
après avoir essuyé aleux défaites, rl reprit les
armes, et fut tue dans une trub-n-nie l»ata1lle,
près de Lorca. l’au M2 (739, . lbusnufavait gou
vemé lïispagne neuf ans et demi ; Abd-el-lah=
n
rmm, ·l’alnî• de ses lil~’. perl ! nimi dun un comë ’ ’ bal, Yauinée suivante. Le second, llohummvil ’ Abou’ ! Aswad. assiégé et pri ; dans Tolède, s’·=· vznla au liant de vimxbgiix Mis de la citadelle de ’ Cordoue. où il ëtait détenu, se revoila. iut vainrii, «·t’mourut dans la niisèrv et dans l’ol»~· p curini. Cacem. le plus jeune. lieriiier de la lmiue ile son permet ile ses l’ri’·res ronlre le roi de Cordoue, après de fréquentes vicissitudes. fut condnil chargé de fers aux pieds il’Àbd-el-lhhlnim, qui lui pardonna genéreusciueiil et le uoinlvla de biens. · A-T,
YOUSOUF-BALKIN (Anoifi. Fmrim’, fdiidatviir de la dynastie dès Zeïrides, Siuihniljides ou Hadisnles, dans l'Afrique proprement dite. était lits ’ de Zvïri lwn·)k»u ind moy. ve noinl. nuqiwl il sucvoila, l’ain’de l’hi-gzire 360 ; de J.·tZ. $l7l’. Ayant reçu iles secours alu’cahle Moezz-letlin-All·•l» roy. re noinl. il wngoa la mort de son père, vainqnit les Zêimlvs en plusieurs occasions, assujettit cette tribu. conquit Thaifiert, &I«·~si— ;« ltinljie. Buskura. llafrn, été, . et (·t«·mlit sa ilnmi- ’ mation jusqu’au ilpwrt de Sahra. Il rendit a tou’ les vnphfs zonatos lai lilwrto et leurs liwus ; cel arte de rondi-si : emlain«·«· eme-rs le ralnli- )|o-zz I lui valut ln plus brillante lnveur auprès ile ye prinre. qui, sen partant pourl’l-l ; zypt¢·. où il zillavl fixer sai riisnlem-i·. réila a lllre ill- llvf lu-r¢·=filsiii-e à l’ousouf-ll : ilkin la souierznnete de ionlv l’Afrique musulmane :. À l’vx«-prim : iles États ile Bnrkah et de Tripoli. et lui zibundonna tous ses pnlziis avec les meubles qu’il< ¢·onl«·n :•i«·ut. (2’vsl rl ; relie époque Zltll "El7 :"· que clan- writnliiomen
! la dynastie iles Zi·’irnl-s. Mais la prèvoy ame
de lloezz. la valeur et les talents ile lousnul ne purent sauver l’Afrique zlvs lléaux de l’amir¢·lne et de lakgnerre. Le de-parl de lloezz donna le svaznal aux factions et aux révoltes. Les lrilms qui rfobèissaient que forvémcn ! à l’aulorilé vl il la aloelrine des Fulhemides prirent les iarnivs. ties troubles facilitèrent au calife d’Espagne, ll.ik«·in al-llostanser. les moyens de rétablir en Afrique ki suprématie des Oinnieytnles. Yousouf, . qui avait, conquis’l’«·linesen, Fez et Sezljelniesse. fut obligé moinentanénient de reconnaître leur suz-raineté·. Lorsqu’il s’en all’rann-liit une nouvelle puissance se forina dans le Maglm-b, sous les auspices des Oiniiwyanles (voy. xifiin Bm ; Arrin t de sorte qu’1l ne resta plus aux Z«·’irnl-s ou Sanhailjiiles que les pays qui forniùrent ilepuis les États de Tunis el dytlger, ïonsouf-Balkin ne cessa de combattre pendant tout son règne, qui ilura douze ans et qui finit à sa mort lfan 373 : 98 !i). Prince voluptueux, il eut jusquà ’ mille femmes, et il lui naquit dix-sept. enfants glans un même jour. Son fils Mansour lui surcétla roy. ce nom}. A- ?.
YOUSOUF Ier, roi de Maroc. Voyez Joussoàr Bm Tascrrrrx.
YOUSOUF ll (Annu ilscovny, troisième roi de Maroc et calife de la dynastie des llowaliides, ou