Page:Michaud - Poujoulat - Correspondance d’Orient, 1830-1831, tome 1.djvu/435

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enfuis ; les muletiers se sont mis à courir pour les rattraper. Nous les avons attendus pendant plus d’une heure sous les saules du Simoïs ; lorsqu’ils sont revenus nous avons continué notre route et nous sommes arrivés à Kounkalé avant le coucher du soleil.