Page:Michaud - Poujoulat - Correspondance d’Orient, 1830-1831, tome 1.djvu/55

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La première fois que j’avais vu ces pauvres Grecs, le spectacle de leur misère m’avait donne des idées tristes, mais en les voyant danser et chanter, j’ai fini par prendre aussi mon parti sur les malheurs de la Grèce. Je suis rentré au Loiret, tout préoccupé des contrastes qui se trouvent dans ce pays et fort aise, d’ailleurs, de voir la facilité, avec laquelle un peuple malheureux peut oublier ses maux.