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flots, chantent autour des menhirs volcaniques les phases de l’épopé : humaine.
L’accès de la forêt Nord est plus difficile que celui de la forêt Ouest, il faut une autorisation, on y va donc rarement,
Le silence y semble plus profond encore, les fourrés sont également détruits, mais il y reste d’énormes arbres.
Parfois on entend tout à coup un bruit pareil à celui d’un obus tombant dans les branches, ou d’un immense coup de serpe, c’est un vieux niaouli qui s’effondre.
Il n’y a plus qu’un tas de poussière et de débris dans lesquels s’agitent des insectes éperdus.
Là on en voit d’étranges, pareils à des ébauches ; d’autres, tout insectes qu’ils son, ressemblent à des êtres plus élevés. Et puis le vent passe qui balaie la poussière.